Le monde est fou, les gens frouillent dans la ville comme des insectes, ils herchent leur place dans cette immonde jungle...Que faire, comment faire, on étouffe dans la ville, les médians nous font peur, les statistiques nous rassure ou nous détruits, nous devenons des produits commerciaux...On nous donne de plus en plus de raison de déprimer, on nous martèle d'images plus choquantes les unes que les autres, on s'observe et pourtant dans la rue, nous sommes anonymes...La télé réalité fait parti de notre quotidien, on adore le voyeurisme, nous nous delectons des instincts les plus primaire, on fait l'amour via le net, on se filme et on se projete eu monde entier, les jeunes se droguent à celui qui aura le plus grand trip, on fait du spirirtuel avec n'importe quoi...on se complaît dans une débilité malsaine, et on en oublit les choses simples...

Alors, on en appelle au psy, pour comprencdre notre mal être et c'est à base de c'est 60 euros et à la semaine prochaine! Bam, racle de la thune pour pas grand chose, oubli les valeurs de la vie, oubli que pendant que tu te plaints sur ta manucure, à côté de chez toi, ya des gens qui meurent de froid, tombe anorexique à cause d'un mec qui te fait cocu et devient boulémique quand tu apprendra qu'il ne t'a jamais aimé...Pfff, tableau très noir, je l'avoue mais parfois j'ai du mal à comprendre les gens en occident...

Le commercial se reconnaît aisement, il roule dans sa voiture de société animé par une envie de faire sa thune au dépend de sa vie...Moi, le commerce, je connais, car mon père a donné sa vie au taf, à sa société...Le commercial est le mec qui fume sa clope plus vite que tout le monde, adepte de la vitesse, il a toujours une bonne excuse quand il se fait flasher:jsuis pressé...Ah le "jsuis pressé", le monsieur lutte contre le temps, la trotteuse est son pire ennemi, sans foi ni loi, le commercial pue la clope et l'alcool, il n'a même plus de temps pour sa femme et ses gosses,il est toujours dans le high tech et la mode et se dit être heureux en vacances alors qu'il ne fait que decompréssé sur le dos de sa famille qui ne lui en demandait pas tant...

J'ai mal vécu ses enchaînements nerveux lorsque j'étais môme mais j'ai appris à les comprendre et je vous le dit aisément, c'est un métier épuisant...avis à ceux qui veulent y toucher...

Juste un conseil:le travail ne doit jamais(au grand JAMAIS) débordé sur la vie privée

Force est de contaster que la région parisienne vit à un rythme semblable à une course contre la montre...Le matin, on voit les parisiens desarmés devant cette journée que chacun vit à sa manière, surtout selon ses contraintes mais toujours avec le stress...Les nerfs affluent au rythme du métro, les gens ne se regardent pas, ils ont peur...Car le métro est cosmopolite, il y a les gens qui vont bosser et la rue...En fait c'est face à la réalité qu'est confronté le parisien, il affronte la misère chaque jours et ne s'en remet jamais, je crois que le parisien est fatigué et rêve à des jours meilleurs...Le quotidien l'etouffe, il ne respire pas comme il devrait le faire, il est scotché aux vitres du douloureu trajet... Quel misère, les valeurs, le parisien en a de moins en moins, les jeunes sont assis, les personnes âgés et les femmes enceintes debout...Le métro est une jungle où les gens se font une place comme ils le peuvent...

En conclusion, à tous les provinciaux qui critiquent les parisiens en long, en large et en travers,essayez un mois de vie dans la peau d'un parisien lambda et vous verrez...peut-être comprendrez vous le stress qui nous animent...